Qui croire ?

Publié le par demandeur d'emploi

La semaine dernière, pour la deuxième fois, on m’a promis un contrat de travail : « c’est fait, vous êtes embauché ».

Et pour la deuxième fois, on repousse l’échéance, pour le moment en milieu de cette semaine.

La dernière fois, c’était bien plus drôle, et beaucoup moins crédible. Une SSII qui ne m’avait pas reçu en entretien m’a rappelé (en fait ils m’ont fait attendre plus de 40 minutes, et j’étais parti avant l’entretien, sans que ça semble les surprendre).

Le nouveau responsable commercial toulousain étant « tombé » sur mon CV et lui ayant trouvé des qualités jusqu’alors insoupçonnées.

Ca m’a donc valu un entretien, suivi 2 heures plus tard d’un appel pour m’annoncer que j’étais embauché avec effet immédiat mais que je devais revoir mes prétentions à la baisse de 10%. Pourquoi pas.

Cet appel a été rapidement suivi d’un autre par le « directeur général ».
En fait, un commercial avec gros sabots pointure 54, le genre qui croit que quelques propos bien enrobés suffiront à me convaincre de saisir la fantastique opportunité qui m’est proposée : développeur Cobol.

Tout autre discours avec lui : mes prétentions peuvent remonter (c’est vraiment n’importe quoi), mais le poste n’est plus à Toulouse, il s’agit de Niort, où j’ai d’autant moins envie d’aller qu’on m’a précédemment promis Toulouse.

C’était en Juillet, j’attends toujours le contrat.

Et cette fois ?

Publié dans humeur

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